A la poursuite de la perle rare

Martine Leclercq est sans cesse à l’affût de la perle exceptionnelle… en un mot rare, qui fera que le bijou fini bénéficiera d’un supplément d’âme qui, lui, n’a pas de prix.

Dans sa recherche permanente, Martine Leclercq participe aux principaux salons et visite régulièrement les fermes perlières du bout du monde.

Au salon de Hong Kong, le plus grand rendez-vous mondial pour les professionnels (plus de 3.500 exposants) et la plaque tournant mondiale du commerce des perles où elle fait son « shopping ». A Anvers pour les diamants d’exception (les grosseurs) et les fancies (diamants de couleurs) . En Italie pour le corail, à Tucson en Arizona, le rendez-vous mondial de tous les gemmologistes et collectionneurs de pierres , pas moins de 30 lieux d’exposition. En Inde, où 11 diamants bruts sur 12 sont taillés.

On pourrait citer beaucoup d’autres pierres rares mais concluons avec une de ses préférées, la Paraiba. Elle est de la famille des tourmalines et les plus belles sont originaires de l’état de Para au nord du Brésil. Ce qui fascine dans cette gemme, c’est sa fluorescence, ce bleu électrique qui n’a pas d’équivalent chez ses consoeurs.

Partagez sa passion pour les perles et les pierres et découvrez, grâce à elle, un univers d’une infinie variété de beautés insoupçonnées.

Vous pouvez toujours retrouver ses créations à la boutique située avenue de Wagram à Paris.